Chers amis,
Ce petit mot d'Oloron (! ! !) pour vous dire que nous sommes avec
les Quillot, Jean-Claude, marraine (Annecy, 1968 !) Astrid, Muriel
Jacob et sa sceur, plus le petit André (Giclou), que tout se passe bien
(trop ! ! !), que nous attendons pour dimanche les Lenoir au complet
(vlan vlan vlan) avec les jumelles, le chien (et mémé). Vous voyez
que nous ne nous ennuyons pas et que nous avons (donc) du pain
sur la planche. Hier nous sommes allés à Saint-Jean où nous avons
rencontré (devinez qui ?) Roberte Sansot et son nouveau mari (elle
n'avait pas sa bandoulière ! ! !) un grand garçon brun assez sympa-
thique. Nous avons parlé de vous (mais pas de qui vous savez).
Nous avons évoqué bien sûr Triel. Roberte nous a appris la mort de
Monsieur Charles (en janvier tiens donc !). Il paraît que Berthe était
à Saint-Aignan à ce moment. (Enfin mmmhhh ! ! !) Ici, il fait moyen-
nement beau. Mais pour la saison, il ne faut pas être trop exigeant.
Nous vous espérons (même Jean-Claude dites !) tous en bonne
forme, malgré la crise d'arthrose de Gaby (mes genoux à Noël !) et
l'angine de la petite. Est-ce que Pierrot cette fois passe en c1asse
supérieure ? (le poussin !) Nous pensons bien à vous. Surtout quand
René nous imite la cigogne. (ça c'est pour Roger ! ! !)
Les jolies petites histoires de tante Mick
Cléo était une adorable petite fille blonde
dont tout le monde vantait l'extrême beauté.
Un jour, sa maman qui avait mis de l'eau à
bouillir s'absenta quelques minutes, après
avoir fait à sa fille mille recommandations :
" Sois bien sage, je reviens, ne touche à rien ".
Cléo restée seule oublie bien vite les conseils
de sa maman. Elle veut voir de plus près ce
qui chante ainsi sur le feu. Agitée par le
démon de la curiosité, elle tente d'attraper la
bouilloire, la renverse et s'ébouillante cruellement.
Sa beauté fut détruite à jamais et elle
dut vivre ainsi, toute sa vie, à l'écart du
monde, fort malheureuse et repentante.
Moralité : on porte à jamais les cicatrices de
la désobéissance. A la prochaine fois.
(...)
(...)